Flag/CE2015 : 3 questions à Elisa De Santis

Elisa De Santis
Elisa De Santis
le 18/09/2015 à 00:25 par François-Noël Martin

Quelques heures après le coup du sifflet final du dernier match de la sélection française féminine face à l'Israël, Elisa De Santis a accepté de revenir sur cette première journée de compétition en répondant à quelques questions.

Elisa, l'équipe de France féminine a ouvert son tournoi face à l'Italie. Un match toujours particuliers pour toi ?

Oui, je connais beaucoup de filles dans cette équipe d'Italie car je joue également avec les Elephants de Catania depuis deux saisons maintenant. Ceci dit, la particularité de ces matchs contre elles s'arrête là : lors des journées du Championnat de France, on joue souvent contre des adversaires que l'on connait bien et on se donne quand même à fond. J'aborde donc chaque match contre l'Italie comme n'importe quel autre match.

Quel bilan tires-tu de cette première journée ?

Avec un bilan de trois victoires en trois matchs, nous avons rempli les objectifs de la journée. L'équipe se règle sur le terrain au fur et à mesure des rencontres, et je sens que notre groupe est bien plus rodé qu'il y a deux ans lors du dernier Championnat d'Europe à Pesaro. Nous montons en agressivité sur la balle. Celestine (Nottebaere) et Méryl (Dubertrand) ont fait des catchs spectaculaires aujourd'hui. Par contre, il faut encore que nous élevions notre niveau avant d'aller défier certaines équipes comme l'Autriche.

Demain, vous affronterez le Danemark, la Grande-Bretagne et l'Allemagne, trois équipes qui n'ont pas eu d'excellents résultats aujourd'hui. La journée sera-t-elle aussi tranquille qu'on pourrait l'imaginer ?

Cette année, je ne me préoccupe pas trop de ce que font les autres équipes. J'ai vraiment envie de prendre les matchs les uns après les autres. Quel que soit la formation que nous aurons en face de nous demain, j'espere juste que nous allons continuer notre progression et nous donner à 100% sur chaque action.

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 On ne naît pas leader, on le devient. On le devient au prix d'un dur travail, comme pour chaque chose obtenue dans la vie.  – Vince Lombardi

En VO :  Leaders aren't born, they are made. And they are made just like anything else, through hard work. 

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