Retour à la maison... et dans le froid

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le 06/02/2007 à 00:00 par Thomas Depaepe
Mise à jour du 20/10/2010 à 21:03
Après la chaleur et la pluie battante de la Floride, les Colts sont rentrés faire la fête dans leur antre : le RCA Dome. Malgré le froid sibérien, les festivités furent loin d'être glaciales pour les joueurs : à peine descendu de leur avion et chaudement habillés avec des parkas, ils ont dû se frayer un chemin parmi les 40.000 fans qui avaient envahi les rues de la capitale de l'Indiana.
Les fans étaient d'autant plus nombreux et impatients que c'est la première fois depuis des lustres qu'une équipe du cru réalise une performance sportive d'ampleur nationale : la dernière grande victoire étant celle des Pacers en NBA en 1973.

Suite à une parade rapide dans les rues, tous les joueurs ont été acclamés dans l'enceinte de l'équipe. Et là, face à la marée bleue, Peyton Manning a déclaré qu'il faisait bon de revenir à l'intérieur d'un dome, surtout après avoir joué dans des conditions climatiques aussi éprouvantes (...). Ensuite, les fans ont pu entendre leurs idoles les remercier pour leur soutien sans faille durant la saison. Manning a ouvert le bal en disant : Avec l'ensemble de l'équipe, je voudrais vous remercier d'être les meilleurs fans du monde !. Puis Tony Dungy a déclaré pendant les 16 ou 18 dernières heures, nous avons fêté la victoire. Nous avons fait la fête ensemble à Miami, mais tout le temps, nous attendions de pouvoir rentrer à la maison. Et maintenant que nous y sommes, notre joie est encore plus grande que nous le pensions car vous êtes formidables.

Rappelons que cette fête dans le RCA Dome était la première, et risque d'être la dernière puiqu'à partir de 2007-2008, les Colts évolueront au Lucas Oil Stadium.
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 Je n'irais jamais vers quelqu'un pour le blesser délibérément à moins que ça ne soit, vous savez, important… comme un match de championnat ou quelque chose comme ça.  – Dick Butkus, ancien linebacker des Chicago Bears (1960/70)

En VO :  I wouldn't ever set out to hurt anyone deliberately unless it was, you know, important… like a league game or something. 

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